Mise à jour n°30
CHAPITRE QUATRE - DANS LES MURMURES COULERA LE CRÉPUSCULE FURIEUX
Qu'éclosent les fleurs heureuses...
Ainsi tomba Thédas a ouvert le 19 juillet 2021 et en est à sa
version 4 en date du 15 septembre 2023.
Ainsi tomba Thédas compte actuellement 52 comptes pour 49 personnages validés ! Les
Factions sont globalement toutes équilibrées, sauf la
Garde des Ombres qui a un désavantage. Notre faceclaim est
ici et nos statistiques
là.
Guide du forum : N'hésitez pas à le consulter
ici.
Animation en cours : L'évènement continue de faire danser nos membres ! Vous trouverez plus d'informations
ici. Les personnages éphémères sont ouverts aux nouveaux.elles joueur.euse.s !
À Satinalia, on trouve du lin et du velours. Les robes se soulèvent au rythme des virevoltes, soient-elles houpelandes ou cottehardies, soient-elles légères ou lourdes. Au pied du plus grand des arbres d'une cité que trop minérale, on choisit son animal totem pour mieux se confronter dans les rires et la joie. Au pied du plus imposant des trônes de cette fière nation, les mains se soulèvent et se tordent au rythme de la musique avec l'injonction de ne pas se toucher.
Pourtant, que la caresse du lin est douce et celle du velours, moelleuse...
À Satinalia, on se pare avec des masques et du maquillage. Les identités se cachent et se devinent, avec une hypocrisie feinte ou avec une sincérité amusée : dans certains salons, on fixe ses propres règles du jeu et l'on oublie celle qui anime le peuple ; dans les rues, on se gausse des manières des nobles et l'on s'empare d'une fête à soi. À nous. Une fête qui ne meurt pas avec les cendres et le feu : alors les quolibets aristocrates ? Alors les railleries populaires ?
Pourtant, les masques ont reçu un soin particulier et les maquillages, une attention profonde...
À Satinalia, on trouve les murmures que l'on y cherche, et l'on saisit les promesses auxquelles l'on veut croire : mais de quel côté du sourire vous tiendrez-vous ?
Prédéfini mis à l'honneur
Nom : Aurélien d'Autrerive. Âge : 44-45 ans. Genre : Masculin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Orlaïs. Occupation : Ancien bérruier, mercenaire indépendant. Religion ou croyances : Chantrie andrastienne désavouée. État civil : Libre.
TW : Violences physiques, tueries.
Avez-vous déjà entendu parler de la Ballade des chevaliers exilés, horrible chanson que ces bardes aiment tant déclamer ? Elle conte l'histoire de ce fils de pauvre famille noble, qui à force d'être rabaissé par ses frères et sœurs est pris d'un fervent désir de sauver Thédas et de protéger le Créateur en pillant et massacrant des paysans tévintides. Elle raconte comment il se fit plus grand en marchant sur la tête des esclaves, espérant atteindre leurs maîtres, oubliant combien leurs cous étaient fragiles. Elle décompte les exploits de ses frères d'armes qui se détournèrent de lui pour qu'il prenne la responsabilité et la culpabilité de ce qu'ils avaient tous accompli. Oh, je leur ferais bien bouffer leurs chapeaux à ces saltimbanques des porcheries pour mieux racler leurs gorges avec leurs plumes : car le chevalier n'a aujourd'hui plus d'ordre, plus de vœu, plus d'honneur, et il ne va que là où sa colère et son amertume le guident. Voir plus...
Scénario mise à l'honneur
Nom : Masha. Âge : Fin trentaine, début quarantaine. Genre : Féminin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Tribus alamarries. Occupation : Garde du corps et agent de la maison Callaigh. Religion ou croyances : Libre. État civil : Libre.
Masha est une femme décrite comme très grande et à la carrure imposante. À cause de ses années de mercenariat et de ses origines alamarries, elle jouit d'une réputation de barbare sanguinaire même si elle s'est assagie avec le temps. Elle n'éprouve cependant aucun problème à lever la main sur plus faible qu'elle et ne s'embarrasse généralement pas de subtilités lorsqu'il s'agit de faire son travail. Elle a le sobriquet de « bouchère aux rats » depuis la guerre des rats et était parfois qualifiée de cruelle ou de sadique par ses propres ex-comparses Dragons de Rubis en raison de son manque évident d'empathie. Après avoir vu sa famille se faire massacrer par les orlésiens toute petite, Masha a un rapport à la violence assez particulier. En plus de servir de garde de corps à la famille Callaigh, il est probable qu'elle leur serve de femme de main et soit responsable de tout ce qui touche plus ou moins à la sécurité et au bien-être de la lignée. Elle est considérée comme un agent loyal de la famille et appréciée par cette dernière car jusqu'ici elle n'a jamais manqué à ses devoirs et nonobstant sa sombre réputation a toujours fait preuve d'un grand professionnalisme. Voir plus...
Rôle mis à l'honneur
Son nom n’est connu que des cercles les plus nobles du tout-Starkhaven - majesté de sang ou d’âme - : aristocrates, intellectuels, artistes… Le faste de son salon séduit les cœurs les plus esthètes, tandis que d’autres s’y pressent pour la discrétion éprouvée de l’enseigne. Car c’est bien là tout le charme de l’Acanthe : raffinement et confidences bien gardées.
Née des cendres du Laurier Carmin, tristement chahuté suite à l’exécution de la Corneille, l’Acanthe est l’incarnation d’un espoir double : celui d’effacer les stigmates de la colère populaire et l’envie, brûlante, de s’arracher définitivement à la fange qui l’a vue naître. Un pari que Vera, sa propriétaire, entend bien remporter, à la force de ses ambitions et de son carnet d’adresse.
Outre un cadre exquis qui ne manque pas de rappeler le bon goût des salons orlésiens, l’Acanthe propose un service - léger - de restauration et accueille entre ses murs des évènements culturels, tels que des représentations théâtrales, des déclamations poétiques ou la promotion d’artistes à la mode - peintres, musiciens, écrivains… Parallèlement à ces activités, on raconte que le salon ferait également office de maison de rendez-vous pour les hôtes en quête d’entrevues plus intimes. Une rumeur que bien peu d’oreilles sont parvenues à recueillir et qu’aucun habitué n’a jusqu’ici confirmé.
Plus d'informations sur les organisations disponibles.
« La Prophétesse se tenait aux côtés de l’Elfe Shartan et clama devant son armée : « Voici ! Notre champion ! » Elle lui donna alors l’épée de sa propre mère, Glandivalis, en déclarant : « Prends, mon Champion, et libère pour toujours nos deux peuples. » Et devant eux, vidée des tyrans, s’ouvrit la terre qui les mena aux portes de Minrathie. »